Postépar : Voyantpapaakeyi à 21:09 - PORTION AFFECTIF - Permalien Tags : comment l'amener à me faire tout ce que je veux, comment l'amener à prendre soin de moi, comment l'amener à être très amoureux de moi, comment le garder pour moi seul, gbase, portion d'amour, poudre d'amour, retour affectif
Bonjour à tous Voila j ai 30 ans je suis divorcée et déjà maman de deux enfants de 7 et 5 ans. Leur papa les prends un w end sur deux et la moitié des vacances. Je suis seule depuis près de 5ans , j ai essayé de refaire ma vie mais pour l instant sans succès. .. l année dernière j ai eu recours a une ivg , j ai très mal vécu la chose mais je m en suis remise en me confortant ds mon choix... et me jurt de ne plus passer par la.... Et voila qu arrive a nouveau un "accident" j avais pourtant pris la pillule du lendemain. Il a suffit d une fois... Mais ca n a pas fonctionné. Je suis enceinte. Je l annonce au papa. Qui me fait bien comprendre que c est hors de question de le garder. Quelques jours plus tard Je lui dis alors l avoir enlevé, pensant le faire lorsque je serai prête. Les docs m avaient parlé d un decollement.. je me disait qu avec un peu de chance ou de temps la nature agirai . Ms je n y arrive pas. J y ss allée 5fois. Tjs partie ss avoir décidé quoi faire. Je lui avoue mon mensonge... et depuis c est silence radio... je lui ai annoncé par sms. En lui avouant mon mensonge et en lui disant que je respecterai sa decision, ns ns frequentions deouis peu... il me manque et le fait de n avoir eu aucun echane depuis est également tres dur. Lui aussi a deux enfants. Il n en veux plus. Je m en veux terriblement de m être a nouveau mise ds cette situation Je ne sais absolument pas si je serais capable d élever cet enfant si je ne vais pas tt perdre et tt rater en le gardant j ai deja deux enfants et ce n est pas facile ts les jours même si je les aime énormément J ai peur d avorter et de regretter mon geste tte ma vie. J ai même pensé a lui donner vie et le confier a une personne de confiance pr l elever mais meme cela je ne sais pas si je vais y arriver Je suis coincée tétanisée je ressent de l attachement pr ce bébé ms je ne sais pas si je dois tt mettre en péril pr cet enfant alors que j ai deja du mal mtn. J ai l impression que je ss deja tres prise par mes enfants et que j aime avoir mon temps libre. Sachant que cet enfant n aura pas de papa.... Je suis perdue... merci d avance pr vos réactionsLerisque principal lié à la conduite pendant la grossesse est de faire un malaise à cause de la fatigue et par conséquent, d'avoir un accident. En fin de grossesse, la survenue de contractions inopinées peut également se révéler dangereuse. De plus, la position immobile prolongée est très mauvaise pour la circulation sanguine, ce qui Contraception et gynécologie > Implant contraceptif > Tout ce qu’il faut savoir ou presque sur l’implant contraceptif par Martin Winckler Article du 13 octobre 2015 L’implant contraceptif, originellement mis sur le marché sous le nom d"Implanon" se nomme désormais "Nexplanon" en France et dans les pays où il est commercialisé. Ce changement de nom correspond à une présentation qui permet de l’insérer de manière plus sécuritaire, juste sous la peau, sans risquer une pose profonde et donc, des difficultés de retrait. Bref c’est un implant amélioré. Raison de plus pour envisager son ce que dit via Le Figaro le Collège des gynécologues et obstétriciens américains sur la prescription des méthodes de longues durée DIU et implant chez l’adolescente. Il recommande l’un et l’autre chez les ados qui le demandent et en dehors des rares contre indications possibles. Cet avis date de fin 2012, il est toujours d’actualité. Comme la pilule et comme le " stérilet " qu’on devrait nommer " dispositif intra-utérin ", pour qu’on n’imagine pas qu’il rend stérile, l’implant contraceptif est une méthode contraceptive efficace à plus de 95 %. L’implant peut être prescrit sans danger aux femmes de tous les âges, il n’est pas réservé aux femmes ayant eu des enfants. Il peut aussi être prescrit aux femmes ayant eu des accidents thrombo emboliques phlébite, embolie pulmonaire et pour qui les estrogènes sont dangereux. Efficacité théorique et réelle d’une contraception Qu’est-ce que ça veut dire " efficace à plus de 95% " ? Ca veut dire que parmi 100 femmes utilisant la méthode pendant 1 an, 5 ou moins seulement seront enceintes en raison d’un échec de la méthode. L’efficacité d’une méthode varie surtout si cette méthode nécessite une intervention de la part de l’utilisatrice ou si des facteurs extérieurs peuvent interférer avec elle. Par exemple, si on prescrit la pilule à 100 femmes à partir du 1er janvier, l’efficacité théorique en cas d’utilisation parfaite est de 95 % 5 grossesse par an pour 100 femmes. En réalité, on observe jusqu’à 20 grossesses par an chez les utilisatrices de pilule. Pourquoi tant que ça ? Parce qu’on peut oublier sa pilule, ou être dans l’incapacité de la prendre, ou la vomir, ou l’arrêter parce qu’on a un effet secondaire imprévu, ou parce qu’on a pris un médicament qui l’a inactivé voir en fin d’article... etc. En revanche, l’efficacité réelle des dispositifs intra-utérins stérilets, au cuivre ou hormonal, est identique à leur efficacité théorique près de 99, 5 % - soit cinq grossesses par an pour 1000 utilisatrices. L’implant contraceptif, lui aussi, est efficace à plus de 99,5 %. C’est un réservoir en matière plastique souple, aussi long mais plus fin qu’une allumette voir photo ci-dessus, qui contient un progestatif, un hormone féminine. On insère l’implant sous la peau du bras au moyen d’une aiguille creuse, un peu comme on fait une prise de sang. Une fois glissé sous la peau, l’implant est indolore et le plus souvent invisible. Où insère-t-on l’implant ? Conventionnellement, sous la peau, quelques centimères au-dessus du coude, à la face interne du bras à gauche ou à droite . Mais ce n’est qu’une convention. Il peut être inséré n’importe où sous la peau. On a choisi cette zone parce qu’elle n’est pas trop exposée mais certaines femmes trouvent l’emplacement gênant et aussi pour que, lorsque la personne qui l’enlève n’est pas celle qui l’a posé et qui doit noter dans le dossier où il l’a posé, il cherche toujours au même endroit - dans le cas où la femme ne se souvient pas. Oui, il arrive que certaines femmes ne se souviennent pas, trois ans plus tard, où l’implant a été posé, surtout si elles ne le sentent pas du tout sous la peau. Mais à proprement parler, il peut être posé à l’endroit que vous préférez. Aujourd’hui, on peut prendre une photo avec son téléphone cellulaire ou celui du médecin et garder une trace visuelle du site d’insertion. Si c’est le médecin qui prend la photo, demandez-lui de vous l’envoyer. Vous pourriez être amenée à le faire enlever par quelqu’un d’autre... Attention !!! la pose et le retrait de l’implant doivent être indolores et, pour cela, être pratiqués sous anesthésie locale. L’implant doit être inséré sous la peau anesthésiée, soit avec un patch ou de la crème anesthésique Emla, soit après une injection de lidocaïne. Il est anormal et inacceptable qu’un médecin insère un implant sans anesthésie locale. Le "manque de temps" n’est pas une excuse le médecin qui propose d’insérer un implant doit prescrire, pour le jour de la pose de la crème Emla, à appliquer sur la peau une heure avant la consultation. Le jour où la femme veut le faire enlever, le médecin doit de nouveau prescrire de la crème anesthésique à poser une heure avant. Au moment du retrait, il doit compléter l’anesthésie par une injection de lidocaïne, avant de faire une toute petite incision sur la peau au-dessus de l’implant et retirer celui-ci avec une pince. Une fois l’implant posé, aucune visite de contrôle n’est nécessaire. Si vous tolérez bien votre implant, vous n’avez pas besoin de voir le médecin qui vous l’a posé pendant 3 ans, ou jusqu’à ce que vous ayez décidé de le faire enlever. Il peut arriver que juste après la pose, un hématome "bleu" apparaisse autour de l’implant. Cela peut arriver s’il y a eu un petit saignement au moment de la pose. Le "bleu" devient ensuite vert, puis jaune c’est normal et finit par disparaître. Depuis quand l’implant existe-t-il ? On pose des implants depuis près de 30 ans, en particulier dans les pays en développement. En France, où nous sommes toujours un peu à la traîne, le seul implant qui existe a été commercialisé pour la première fois en 2001. C’est le plus récent, mais aussi le plus fiable et le plus facile à utiliser. Aujourd’hui, on a tout de même quinze ans de recul, ce qui n’est pas rien. Comment ça marche ? Une fois l’implant inséré sous la peau, des orifices microscopiques se dilatent à la chaleur du corps et libèrent une hormone progestative similaire à celle qui est contenue dans les pilules progestatives, sans estrogènes et cette hormone diffuse dans le sang. Comme avec toutes les méthodes hormonales, le cerveau de l’utilisatrice perçoit les hormones dans le sang et croit » que cette circulation d’hormone est synonyme de grossesse. De ce fait, l’ovulation est mise en sommeil. La quantité d’hormone présente dans l’implant est suffisante pour être efficace trois ans. Comme la pilule progestative l’implant ne présente pratiquement aucun danger. Il peut être utilisé à n’importe quel âge, de l’adolescence à la quarantaine passée, même par les femmes qui fument. Il ne nécessite aucune manipulation et aucune précaution. Est-ce vraiment une contraception très efficace ? Oui, l’efficacité de l’implant est très grande si j’en crois les statistiques auxquelles j’ai eu accès, parmi les 200 000 femmes ayant reçu un implant en Europe ces dernières années on a observé moins de dix grossesses. Dans mon expérience personnelle j’ai posé des implants entre 2001, date de leur commercialisation en France et 2008, je n’ai eu à observer que quelques grossesses sur plusieurs centaines d’implants insérés, dans les circonstances suivantes – Deux grossesses sont survenues chez des femmes qui... étaient déjà enceintes avant d’avoir fait poser leur implant elles s’étaient trompées sur la date de leurs dernières règles ou avaient omis de prendre des précautions contraceptives entre l’arrêt de leur contraception précédente et la pose de l’implant. Je leur avais posé l’implant en toute confiance. A l’une d’elle, j’avais recommandé de refaire un test de grossesse quinze jours plus tard je n’étais pas du tout sûr qu’elle ne pouvait pas être enceinte mais elle ne l’a pas fait. – Une grossesse est survenue chez une femme épileptique dont le traitement, compatible avec un implant, a été modifié plusieurs mois après la pose de l’implant par le neurologue. Le spécialiste » n’a pas jugé utile d’interroger cette femme sur son désir ou non d’être enceinte, ni de se préoccuper des interactions entre le nouveau traitement qu’il lui prescrivait et sa contraception existante. Or, non seulement le médicament qu’il lui a prescrit avait pour effet de diminuer l’efficacité de l’implant, mais en plus, il était toxique pour une éventuelle grossesse. Ce type-là mériterait qu’on lui interdise d’exercer, car l’interaction entre certains médicaments anti-épileptiques et la contraception hormonale fait partie du de la neurologie. Et en plus, c’est inscrit sur les notices... – Un petit nombre de grossesses sous implant moins de cinq sont survenues sans cause identifiable. Au total, on peut considérer que l’implant est une méthode très, très fiable. Si vous en avez assez de prendre la pilule et désirez changer de contraception, pensez aussi au DIU. Tout ce que vous avez besoin de savoir sur le DIU Dispositif intra-utérin ou "stérilet" Est-ce que l’implant fait prendre du poids ? Dans les documents du fabriquant, on peut lire qu’ Une étude a montré que les femmes qui prennent du poids ne sont pas plus nombreuses parmi les utilisatrices d’implant que parmi les utilisatrices de stérilet qui, lui, ne contient aucune hormone. » Mon sentiment clinique dont la valeur scientifique est inévitablement réduite, car je ne peux pas être objectif, mais qui est fondé sur l’observation et le bon sens est le suivant Toutes les méthodes hormonales de contraception reproduisent peu ou prou l’état hormonal de la grossesse ; comme toutes les méthodes hormonales, l’implant peut favoriser une prise de poids importante chez certaines femmes prédisposées - celles qui prennent beaucoup de poids pendant leurs grossesses. C’est évidemment difficile à prévoir chez une femme qui n’a jamais été enceinte mais – si votre mère a pris beaucoup de poids pendant sa ou ses grossesses – si vous avez pris beaucoup de poids avec une autre méthode hormonale pilule – si vous avez été enceinte brièvement et avez pris bcp de poids pendant les semaines où vous étiez enceinte, – si vous êtes en surpoids ou avez tendance à prendre du poids facilement, alors il est très probable que l’implant vous fera prendre du poids. Ce n’est donc pas, dans ces circonstances, une méthode que je recommande. De manière assez caractéristique, je n’ai pour ainsi dire jamais vu une femme mince ou maigre et qui se plaignait de l’être prendre du poids avec un implant alors que souvent elle le souhaitait. Cette observation m’a conforté dans l’idée que l’implant, en lui-même ne fait prendre du poids qu’à des femmes prédisposées celles que je décris plus haut, de même qu’il ne provoque une poussée d’acné que chez les femmes qui en ont ou en ont eu par le passé. Encore une fois, cette observation n’a pas valeur de vérité absolue, mais elle est fondée sur le bon sens. Ces réserves faites, il m’est arrivé souvent d’entendre des femmes me dire qu’elles préféraient courir le risque de prendre du poids plutôt que d’être enceinte, et bien entendu, je respectais leur choix de l’implant, car c’est leur choix qui doit être déterminant, pas les inquiétudes ou les préjugés du médecin. L’implant favorise-t-il l’acné ? L’implant contient un progestatif, hormone qui ressemble aux hormones masculines. Chez les personnes qui y sont sujettes, le progestatif de l’implant peut accentuer l’acné, voire même provoquer une poussée d’acné. Il est donc important que les femmes qui choisissent un implant le sachent avant de choisir cette méthode. Chez les femmes également prédisposées à ces phénomènes l’implant peut également comme tous les progestatifs favoriser la séborrhée peau grasse, un certain degré d’hirsutisme pousse des poils et... la chute des cheveux. Mais encore une fois, ces phénomènes surviennent essentiellement les femmes qui y sont déjà sujettes. Le progestatif de l’implant ne fait qu’accentuer une prédisposition personnelle, il ne la crée pas. Attention ! Ces phénomènes sont les mêmes avec le DIU hormonal qui contient sensiblement la même hormone que l’implant contraceptif. Les femmes ayant tendance à prendre du poids et prédisposées à l’acné, à la séborrhée et à l’hirsutisme doivent savoir qu’un DIU hormonal risque d’accentuer ces symptômes. Même si statistiquement, ces phénomènes sont moins fréquents chez les utilisatrices de DIU hormonal que chez les utilisatrices d’implant. Un inconvénient imprévisible de l’implant l’irrégularité des menstruations En reproduisant l’état hormonal de la grossesse, l’implant met souvent l’ovulation en sommeil. Ainsi, 18 % des utilisatrices n’ont pas de règles du tout, comme si elles étaient enceintes. D’autres surtout pendant les premières semaines peuvent observer un gonflement ou une tension un peu douloureuse des seins. Parfois, l’absence de règles et la tension des seins fait redouter une grossesse. Un test de grossesse négatif permettra de vous rassurer. Le port de l’implant ne modifie pas les tests de grossesse. Ces phénomènes sont sans danger. Et ils ne concernent pas toutes les utilisatrices. La majorité des utilisatrices ont des règles moins fréquentes, et plus irrégulières qu’en l’absence de contraception. Un certain nombre 12 % d’utilisatrices ont des règles plus fréquentes - qui surviennent souvent de manière imprévisible - surtout pendant les 6 premiers mois. Ces saignements ne sont pas des règles, mais un spotting », un saignement minime provenant de l’utérus, et lié à la finesse de la paroi intérieure de l’utérus endomètre, très aminci par l’hormone. Le spotting » s’observe aussi chez les utilisatrices de pilule surtout celles qui prennent la pilule en continu ou les porteuses de DIU stérilet », au cuivre ou hormonal. IL est sans danger et n’a pas de signification particulière, mais il peut être très gênant. Que faire quand on a un "spotting" ? Les femmes qui ont des règles trop fréquentes, ou des saignements légers plus ou moins permanents spotting » pendant les premiers mois d’utilisation de l’implant peuvent atténuer ce phénomène en prenant de l’ibuprofène en vente libre par cures de 2 comprimés à 200 mg, trois fois par jour, 4 jours d’affilée. Le plus souvent, cela suffit à interrompre durablement le spotting. Une autre méthode, quand les saignements sont très fréquents ou très gênants, consiste à prendre des estrogènes qui ont tendance à ré-épaissir l’endomètre, ce qui l’empêche de saigner. Les estrogènes peuvent être pris sous la forme... d’une pilule combinée ordinaire. Elle n’est alors pas utilisée comme contraception, mais pour faire cesser le spotting ». À retenir Si vous n’avez pas de règles dans les semaines ou les mois qui suivent la pose d’un implant, ne vous inquiétez pas a priori, vous n’êtes pas enceinte ! C’est un effet fréquent. L’absence de règles ne compromettra pas votre aptitude à être enceinte après le retrait de l’implant. Si vous voulez être complètement rassurée, faites un test de grossesse. Si vous avez des règles irrégulières, c’est également un effet de l’implant. Cette irrégularité peut durer pendant les trois ans d’utilisation. Elle ne veut pas dire que l’implant est inefficace, mais si elle est gênante, et si elle n’est pas contrôlée par la prise d’ibuprofène voir plus haut, elle peut contraindre à retirer l’implant. Si vous désirez recourir à une méthode de contraception très efficace mais sans hormones, choisissez un DIU dispositif intra-utérin ou "stérilet" au cuivre. Pour en savoir plus La résistance des médecins Beaucoup de gynécologues et de médecins français semblent très opposés à l’implant. Certains invoquent ses effets secondaires, mais toutes les méthodes en ont, et si l’utilisatrice potentielle est prévenue des effets possibles de l’implant, et si elle n’est prédisposée ni à la prise de poids, ni à l’acné, elle peut essayer l’implant. L’irrégularité du cycle est certes possible et imprévisible, mais elle n’est très gênante que pour 12 à 15 % des utilisatrices. Dans le département français où j’ai longtemps exercé, de nombreuses femmes demandaient un implant à un gynécologue qui refusait de les poser, et qui le leur prescrivait pour être posé par quelqu’un d’autre. Cette attitude n’est pas acceptable la pose de l’implant est un geste simple, à la portée d’un étudiant en médecin de 4e année, et le choix de la contraception appartient à la femme, surtout quand la méthode est sans danger or, la seule méthode contraceptive susceptible de comporter un danger mortel... c’est la pilule combinée ! Il n’est donc pas professionnel de refuser la pose d’un implant sans raison médicale raisonnable. Rappelez-vous par ailleurs qu’il n’est pas nécessaire d’aller voir un gynécologue pour vous faire prescrire une contraception ou poser un implant ou un DIU médecins généralistes et sages-femmes sont habilitées à le faire et beaucoup le font très bien, sans réticence. Si les professionnels de santé exerçant en privé autour de chez vous ne veulent pas vous poser d’implant, contactez le Centre de Planification public ou du Planning Familial le plus proche. Les liens vers ces deux listes sont ici. Certains professionnels ??? ne veulent pas entendre parler de l’implant parce que soi disant ça ne leur rapporte rien de poser un implant » alors que la pose d’un stérilet est un acte qu’ils peuvent faire payer. C’est faux, bien entendu. La pose et le retrait de l’implant sont cotés par la sécurité sociale ils ont un tarif bien précis, comme vous pouvez le voir dans CET ARTICLE. En réalité, l’opposition de nombre de médecins à l’implant est liée au fait... que ça ne les intéresse pas. Ne connaissant pas bien cette méthode et ne cherchant pas à proposer le plus grand nombre possible de méthodes contraceptives à leurs patientes, ils ne veulent pas se risquer à la prescrire et à la conseiller. Cela aussi est tout à fait anti-professionnel, car tout médecin a l’obligation de mettre à jour ses connaissances, en particulier dans son champ de spécialité. Toutes proportions gardées, de santé qui refuse de prescrire, poser ou retirer des implants "parce que ça ne l’intéresse pas" est aussi peu sérieux et fiable qu’un garagiste qui refuse de réparer une voiture sous prétexte qu’il n’aime pas le modèle. Ce n’est pas au professionnel de choisir votre contraception, c’est à vous !!! L’implant est-il une meilleure contraception que la pilule ou le DIU ? Cette question n’a pas de réponse absolue il n’y a pas de contraception supérieure aux autres car la meilleure contraception pour une femme donnée peut être mauvaise pour une autre. La meilleure contraception, c’est celle que vous choisissez en connaissance de cause. Et ça peut ne pas être toujours la même pendant les 35 ou 40 années où vous aurez besoin de contrôler votre fertilité ! L’implant est une contraception efficace, sans danger et bien tolérée par un grand nombre de ses utilisatrices. Il mériterait d’être proposé systématiquement, en même temps que d’autres méthodes efficaces DIU, pilule, anneau vaginal, "patch", à toutes les femmes qui veulent une contraception très fiable. Lire la recension par Le Figaro de l’avis du Collège des gynécologues et obstétriciens américains sur la prescription du DIU et de l’implant chez l’adolescente. Il recommande l’un et l’autre chez les ados qui le demandent et en dehors des rares contre indications possibles. Cet avis date de fin 2012, mais il est toujours d’actualité. Si vous en avez assez de prendre la pilule et désirez changer de contraception, pensez aussi au DIU. Tout ce que vous avez besoin de savoir sur le DIU Dispositif intra-utérin ou "stérilet" L’IMPLANT EN PRATIQUE Comment puis-je trouver qui pose et retire les implants ? Deux méthodes simples – demandez à votre généraliste ou à votre médecin traitant s’il ou elle en pose ; ou s’il ou elle connaît une sage-femme ou un gynécologue qui le font. – interrogez le centre de planification ou l’antenne du Planning Familial les plus proches de votre domicile La liste est ICI – Consultez cette liste de liens mise à votre disposition par l’association des sages-femmes orthogénistes. Au bout de combien de temps l’implant est-il efficace ? S’il est posé juste dans la semaine qui suit les règles, on considère qu’il est efficace immédiatement. S’il est posé plus tard dans le cycle, il est prudent d’utiliser des préservatifs pendant les sept jours qui suivent la pose. Y a-t-il un moment particulier du cycle pour le poser ? Non, il peut être posé n’importe quand dans le cycle, à condition d’être sûre qu’on n’est pas enceinte... Il est absolument inutile d’attendre les prochaines règles ». De plus, il est quasiment impossible de prendre un rendez-vous avec un médecin juste après ses règles... Donc la méthode la plus simple consiste par exemple à continuer sa pilule jusqu’au jour de la pose et pendant les 3 ou 4 jours qui suivent. Si on n’utilisait pas de contraception avant la pose, il est souhaitable d’utiliser des préservatifs entre le premier jour des règles et la pose de l’implant, et pendant la semaine qui suit. Mon médecin me conseille de prendre Cérazette quelques semaines pour savoir si je vais supporter l’implant. Qu’en pensez-vous ? Que ça ne présente pas de danger mais que... ça n’aide en rien à prédire si l’on va supporter l’implant ou non. En effet, Cérazette contient la même molécule que l’implant, mais l’absorption par la bouche et l’absorption sous-cutanée ne sont pas du tout identique, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Personnellement, je pense donc que prendre Cérazette avant de se faire poser un implant est une perte de temps. Si vous désirez essayer un implant, faites-vous le poser dès que possible. Le seul intérêt de prendre Cérazette est... d’avoir une contraception jusqu’au jour de la pose. Ca ne nécessite pas de la prendre pendant plusieurs mois. Comment puis-je me procurer un implant ? Est-il remboursé ? Combien coûte-t-il ? Vous devez acheter l’implant en pharmacie, sur ordonnance de votre médecin. Il coûte environ 140 euros et il est remboursé à 65 % à 100% si vous avez une mutuelle. Donc, beaucoup moins cher qu’une pilule prise pendant 3 ans... Le retrait de l’implant se fait-il simplement ? Laisse t-il des cicatrices ? Remet-on un autre implant tout de suite au même endroit ? Lorsqu’on a affaire à qui en a l’habitude, il n’y a pas de problème, ni à la pose, ni au retrait. On pose l’implant un peu au-dessus du coude, juste sous la peau, à la face intérieure du bras - autrement dit la zone qui, lorsqu’on laisse pendre le bras le long du corps, touche le thorax. Donc, ça ne se voit pas même chez les femmes très minces, il faut vraiment avoir le nez dessus pour le voir. La cicatrice de la pose est souvent invisible, ou c’est juste une toute petite tache pâle sur la peau. Pour enlever l’implant, il suffit, après avoir endormi la peau une nouvelle fois, que le médecin fasse une petite incision plus courte qu’une boutonnière, pousse l’implant vers l’orifice, l’attrape avec une pince et le retire. Comme l’incision est très petite, on la referme avec des stéristrips sparadraps très fins, et la cicatrice est ensuite presque imperceptible. On peut remettre un second implant au même endroit, et si la femme en désire un autre, il est préférable de le mettre en place pendant la consultation où on retire le précédent. Pendant les huit années 2001-2008 où j’en ai posé, j’ai souvent mis un 2e ou un 3e implant à plusieurs patientes qui s’étaient fait poser le premier en 2001. Le retrait n’est difficile que si l’implant est posé trop profond, ou si l’utilisatrice est un peu forte et si le médecin essaie de l’enlever alors qu’il ne le sent pas. Quand on ne sent pas l’implant sous la peau, il faut demander à un échographiste expérimenté de le localiser il ne se voit pas à la radio, mais se voit très bien à l’échographie, et de tracer un trait au feutre en regard de l’implant pour bien le repérer. Le retrait est ensuite le plus souvent très simple. Au pire, quand on ne le retrouve pas du tout ça peut arriver, il y a eu un ou deux cas en France, il n’y a pas de danger à le laisser en place. Si la femme veut une grossesse, évidemment, elle doit attendre que l’effet de l’implant se termine ça peut être de l’ordre de quelques mois. Si elle n’en veut pas, on peut très bien lui mettre un autre implant et laisser l’implant vide en place. C’est du plastique inerte, il ne peut pas vraiment entraîner plus de problèmes que quand il était plein d’hormones ! QUESTIONS ET REPONSES FREQUENTES Quels sont les médicaments qui peuvent compromettre l’effet d’un implant ? Tous ceux qui compromettent aussi les effets des pilules contraceptives – Certains médicaments antiépileptiques phénobarbital et autres barbituriques, phénytoïne, primidone, topiramate, vigabatrin, carbamazépine, felbamate, oxcarbazepine. – Un médicament psychostimulant », le modafinil – Certains médicaments antituberculeux rifabutine, rifampicine – Certains antiviraux antiprotéases utilisés contre le VIH amprenavir, ritonavir, nefinavir, efavirenz, neviratine – Un antifungique médicament contre les champignons griséofulvine – Le millepertuis, une plante médicinale !!! Faut-il absolument enlever l’implant au bout de 3 ans ? En fait, l’implant ne cesse pas brutalement d’agir au bout de 3 ans. Chez les femmes minces ou de poids normal inférieur à 70 kilos, il agit probablement encore plusieurs mois au-delà des 3 ans indiqués par le fabriquant, mais il n’est pas possible de savoir combien de temps. Il m’est arrivé à de nombreuses reprises de changer des implants jusqu’à 3 ans et 6 mois après la pose sans que les utilisatrices aient été enceintes. Cela signifie donc que vous n’êtes pas à 2 mois près pour le faire changer. Et bien sûr, vous n’êtes jamais obligée de le garder 3 ans. Si vous voulez porter un implant quelques mois seulement, vous avez parfaitement le droit de vous le faire poser pour un délai limité. C’est à vous de décider du moment de vous le faire enlever, et non au médecin. Une réserve il est possible que l’implant soit efficace moins longtemps chez les femmes en surpoids plus de 80 kilos. A ces utilisatrices-là , il est recommandé de le changer plus tôt au bout de 2 ans ½. Après avoir enlevé son implant, combien de temps faut-il attendre avant de pouvoir être enceinte ? Comme toutes les méthodes hormonales, l’implant reproduit l’état hormonal de la grossesse. Quand l’implant est retiré, le retour à un cycle normal est similaire à celui qui suit un accouchement de l’ordre de 4 à 8 semaines avant que des règles normales réapparaissent si l’utilisatrice n’en avait pas pendant l’utilisation de l’implant. Ensuite, une fois le cycle naturel de la femme rétabli, le délai avant une grossesse est variable en fonction de la femme et du couple... LISEZ CECI L’implant est-il utilisable par une femme qui a une endométriose ? Oui, car il contient un progestatif qui est utilisé pour traiter l’endométriose, mais il peut être insuffisant pour faire disparaître les symptômes de l’endométriose, en particulier les règles douloureuses. Donc ça mérite d’être essayé, mais l’efficacité n’est pas constante pour toutes les femmes. Peut-on utiliser un implant quand on a des migraines avec la pilule ou pendant ses règles ? Oui, un implant ne présente pas de danger pour une femme migraineuse, contrairement à une pilule contenant des estrogènes. Et comme l’implant endort l’ovulation et espace ou fait disparaître les règles, il espace aussi les migraines liées aux règles ! Je fume, est-ce que je peux utiliser un implant ? Oui. Ce qui est incompatible avec le tabac, après 35 ans, ou après 15 ans de consommation de tabac, c’est l’estrogène présent dans les pilules combinées. L’implant est sans danger pour les femmes qui fument. Mais le tabac, lui, ne l’est pas... Peut-on se faire poser un implant après un accouchement, et quand on allaite son bébé ? Oui. Et cela peut-être fait le lendemain de l’accouchement donc, à la maternité ou n’importe quand au cours des semaines qui suivent. Ce qu’il faut savoir – si vous avez pris beaucoup de poids plus de 15 kilos pendant votre grossesse, utiliser un implant peut vous empêcher de les perdre ; – il semble que les saignements sous implant soient plus fréquents quand l’implant est inséré très tôt après l’accouchement ; il n’y a pas d’inconvénient à attendre 15 jours ou 3 semaines pour le poser l’ovulation ne se reproduit pas avant le 21e jour qui suit l’accouchement ; – l’implant est compatible avec l’allaitement ; la quantité d’hormone qui passe dans le lait est infime, et ne met pas le bébé en danger ; J’ai quatorze ans. Puis-je utiliser un implant ? Oui. Tout comme vous pourriez utiliser une pilule progestative ou combinée ou un DIU, d’ailleurs, si vous le désirez. Comme toute prescription de contraception, la pose d’un implant est gratuite et anonyme pour les mineures dans les Centres de planification et d’éducation familiale et les Plannings Familiaux. Et l’implant est sans danger pour les adolescentes. Il est en revanche bien plus sûr qu’une pilule et bien plus économique il est remboursé intégralement. Et il peut être utilisé sans l’accord des parents, bien sûr, comme toute contraception le médecin a en effet interdiction d’enfreindre le secret et de prévenir les parents d’une mineure qui demande une contraception ; s’il le fait, il peut être poursuivi en justice. Attention ! La pilule et l’implant ne sont pas les seules méthodes utilisables par les adolescentes. Un DIU dispositif intra-utérin ou "stérilet" peut parfaitement convenir à des jeunes femmes n’ayant jamais eu d’enfant. Pour en savoir plus Cliquez ICI] Y a-t-il des allergies à l’implant ? Apparemment non. Le plastique de l’implant est inerte et ne provoque pas d’allergie. L’hormone qu’il contient non plus. J’ai fait une phlébite autrefois. Est-ce que je peux utiliser un implant ? Oui. L’implant n’est pas contre-indiqué après qu’une phlébite a été traitée. Mon implant est plié ou cassé sous la peau. Est-ce dangereux ? Il arrive qu’à la pose, l’implant soit plié et/ou se casse. Cela n’a pas d’incidence sur son efficacité et c’est sans danger. J’ai eu des règles pendant trois mois après la pose de l’implant, et depuis, plus rien. Comment savoir si c’est un effet de l’implant ou si je suis enceinte ? Il suffit de faire un test de grossesse urinaire ou, mieux, sanguin. Les tests de grossesse ne sont pas modifiés par l’implant. Je veux me faire enlever mon implant et me faire poser un DIU. Dois-je attendre ? Non. Vous pouvez vous faire poser votre DIU et faire enlever l’implant au cours de la même consultation. Je dirais même que le médecin ou la sage-femme doit le faire le même jour il est inutile de vous faire payer deux consultations ; et il est inutile de vous laisser sans contraception entre le retrait de l’un et la pose de l’autre. Je prends la pilule. On m’a posé un implant aujourd’hui. Dois-je finir ma plaquette ? Ce n’est pas indispensable sur le plan contraceptif vous êtes protégée au bout de quelques jours d’implant mais l’arrêt de votre pilule entraînera des saignements au bout de quelques jours. Il sera probablement plus confortable pour vous de terminer votre plaquette, et il n’y a pas de danger à la terminer ou à la continuer pendant une semaine, si vous étiez au début de la plaquette après la pose de l’implant. Est-ce qu’un implant fait monter le cholestérol ? Non. Et même s’il le faisait, ça n’aurait aucune importance, car ça n’en a aucune quand on est une femme de moins de cinquante ans, comme vous le lirez en CLIQUANT ICI. J’ai quarante-sept ans. Est-ce que je peux me faire poser un implant, et quand dois-je le faire enlever ? Vous pouvez utiliser un implant pendant plusieurs années, et ne vous le faire enlever que lorsque vous serez ménopausée. En effet, en France, les femmes sont ménopausées de plus en plus tard, et des grossesses sont souvent encore possibles après la cinquantaine. IL n’est donc pas recommandé de cesser d’avoir une contraception avant la ménopause. Et il n’y a pas de danger à porter un implant au-delà de cinquante ans. Depuis que j’ai un implant, ma libido mon désir sexuel est à zéro. Est-ce que l’implant est responsable ? Toutes les méthodes hormonales peuvent diminuer la libido... Si vous avez observé une nette diminution de votre désir à partir du moment où il a été posé, et si vous n’avez pas d’autre raison de manquer de désir dépression, maladie, problème de couple, etc. alors, oui, vous êtes en droit de faire retirer votre implant pour cette raison. La meilleure méthode pour retrouver la libido, c’est un DIU au cuivre sans hormone. J’ai des adénofibromes du sein. Puis-je porter un implant ? Oui. Les maladies bénignes du sein ne sont jamais une contre-indication à l’implant, qui peut même être utilisé par une femme qui a été traitée pour cancer du sein et qui en a guéri. Si vous en avez assez de prendre la pilule et désirez changer de contraception, pensez aussi au DIU. Tout ce que vous avez besoin de savoir sur le DIU Dispositif intra-utérin ou "stérilet" Pour en savoir plus sur la contraception lisez Contraceptions mode d’emploi ou Choisir sa contraception Imprimer
bonjourou plutot bonsoir depuis plus de 2 ans je vois quelqu’un; je l’ai rencontré alors qu’il avait une copine depuis 13 ans et une fille de 3 ans, on s’est vu et on à craqué, il me disait que tout allait bien dans son couple, qu’il ne comprenait pas pourquoi il la trompait, ils se sont quittés, nous avons été ensemble (non clandestinement), puis il est ravenu avec, enfin
Si l'assistante maternelle de votre enfant est malade ou enceinte vous avez des démarches à effectuer notamment auprès de sa CPAM Caisse primaire d'assurance maladie. Prenez en connaissance. Sommaire Maladie, maternité, comment gérer ? La surveillance médicale Les absences pour raisons médicales Voir aussi Pendant toute la durée du congé maternité de la salariée, vous ne pouvez en aucun cas rompre son contrat de travail ! Articles 43 et 48-1-2-5 de la convention collective de la branche du secteur des particuliers employeurs et de l’emploi à domicilePourcette annonce, vous devez remettre un certificat de grossesse rempli par votre médecin, par recommandé avec accusé de réception ou bien en main propre contre un récépissé. Cela peut paraître bien tôt, mais les places en crèche sont rares et difficiles à obtenir, et mieux vaut s’y prendre plusieurs mois à l’avance. Notifications des droitsL'officier de police judiciaire OPJ doit informer immédiatement et dans une langue qu'elle comprend, la personne gardée à vue, des éléments suivants Début de la garde à vue, durée et possibilité d'une prolongation de sa durée initialeInfraction qu'elle est suspectée d'avoir commise, date et lieu présumés de celle-ciObjectifs visés par la garde à vueDroit d'être examinée par un médecinDroit de faire prévenir par téléphone un proche un seul, son employeur, et si elle est de nationalité étrangère, les autorités consulaires de son paysDroit d'être assistée par un avocat, choisi par elle ou commis d'office, dès le début de la garde à vueDroit d'être assistée par un interprèteDroit de se taire, de faire des déclarations ou de répondre aux questions de l'OPJDroit de présenter des observations au magistrat qui peut faire une prolongation de la garde à vueDroit de lire, au plus tard avant l'éventuelle prolongation de la garde à vue, le procès-verbal indiquant le début de la garde à vue, les procès-verbaux d'interrogatoire. S'il existe, il peut également lire le certificat médical établi par le médecin venu l'examiner dans les locaux de la police noter un écrit indiquant ces droits est remis à la personne gardée à vue lorsqu'elle est informée du début de sa garde à à un contact avec un proche et un employeurLe suspect a le droit de faire prévenir un proche de sa garde à vue. Il ne peut prévenir qu'un seul proche parmi la liste suivante Personne avec laquelle il vit habituellementPère ou mèreUn de ses grands-parentsUn de ses enfantsUn frère ou une sœurPour garder ou obtenir de nouvelles preuves, le magistrat en charge de l'enquête peut décider que le proche ne soit pas prévenu, ou qu'il le soit plus tard. Par exemple, s'il faut faire une perquisition, pour éviter la dissimulation de preuves, le procureur de la République peut retarder le moment où il prévient la personne choisie par le procureur peut aussi retarder l'information à un proche ou même ne pas l'accorder pour empêcher une atteinte grave à la vie, la liberté ou l'intégrité physique d'une personne. C'est le cas par exemple si le procureur craint qu'un membre de la famille du suspect agresse la plaignant ou un personne gardée à vue peut demander à communiquer avec un de ses proches par écrit, par téléphone, ou à avoir un entretien. L'OPJ peut refuser si cette communication risque de perturber l'enquête et de permettre une nouvelle à un avocatLe suspect gardé à vue peut demander l'aide d'un avocat dès le début de la garde à vue. Il désigne un avocat qu'il connaît ou il demande un avocat commis d' le suspect gardé à vue demande un avocat, sa 1ère audition doit débuter en présence de son défenseur sauf si l'audition porte uniquement sur son identité. Si un délai de 2 heures s'est écoulé depuis le contact de l'avocat et que l'avocat n'est pas arrivé sur place, l'audition peut tout de même avoir lieu. Le magistrat chargé de l'affaire juge ou procureur de la République peut autoriser une audition son arrivée, l'avocat peut s'entretenir avec son client pendant 30 minutes et consulter les documents suivants Procès verbaux d'auditionProcès verbal concernant le placement en garde à vueCertificat médical s'il a été établiEn cas de prolongation de la garde à vue, l'avocat peut une nouvelle fois s'entretenir avec son client pendant 30 peut assister à tous les interrogatoires et prendre des notes. Il peut aussi assister la personne gardée à vue lors d'une reconstitution ou être présent lors d'une séance d'identification à laquelle le suspect la fin de chaque interrogatoire, l'avocat peut poser des questions. L'OPJ peut s'y opposer uniquement si celles-ci sont de nature à empêcher le bon déroulement de l' peut également faire des observations dans lesquelles il peut noter les questions refusées. Ces observations sont jointes à la la personne gardée à vue est transportée dans un autre endroit, son avocat est immédiatement ou fouilleLa personne gardée à vue peut faire l'objet d'une palpation de sécurité ou d'une fouille si elle est nécessaire pour l'enquête. Ces actes sont effectués par la police ou la gendarmerie Palpation manuelle ou avec une détection électronique. Un agent, de même sexe que la personne fouillée, la touche sur ses vêtements. Cet agent peut lui demander d'enlever certains vêtements, mais une mise à nu intégrale est interdite. Cette palpation a pour but de vérifier que le suspect gardé à vue n'a pas sur lui un objet dangereux. Le consentement n'est pas intégrale si les 2 actes ci-dessus sont insuffisants. Elle doit être indispensable pour l'enquête. Le suspect gardé à vue peut être amené à se déshabiller. Cette fouille doit être faite par un OPJ de même sexe que la personne fouillée et dans un lieu un médecin peut effectuer une fouille dans le corps. Elle est utilisée si le suspect gardé à vue est soupçonné de cacher un objet à l'intérieur de son corps boulette de drogue par exemple. Aumoins pour une réflexion. Voici nos conseils femme enceinte. 1. Envie de faire pipi. Lorsque vous êtes enceinte, vous apprenez à vous recentrer sur ce qui est essentiellement nécessaire. À savoir, par exemple, que les salles de bains peuvent être atteintes en un temps maximum de cinq minutes. Plus d’une femme sur trois ne connaît pas bien les risques liés au stress pendant la grossesse, selon une enquête de la Fondation PremUp. Pourtant, ces risques existent. Les récents travaux semblent bien indiquer une incidence du stress prénatal sur le déroulement de la grossesse et la santé du futur bébé. Une vaste étude hollandaise, réalisée en 2011 sur plus de 66 000 mères et enfants, a confirmé que le stress maternel pouvait être associé à certaines pathologies. Il y a maintenant des données qu’on ne peut pas contester », confirme Françoise Molénat*, pédopsychiatre et psychanalyste en périnatalité. Des études très précises ont comparé le type de stress prénatal et les effets sur la maman et le bébé. »Les petits stress du quotidien, sans risque pour la grossesseLe mécanisme est en fait assez simple. Le stress génère des sécrétions hormonales qui passent la barrière placentaire. Le cortisol, l’hormone du stress, peut ainsi se retrouver, en plus ou moins grande quantité, dans le sang du bébé. Mais pas de panique, toutes les émotions n’influent pas forcément sur la grossesse et le du 1er trimestre lorsqu'on apprend qu'on est enceinteLe stress d’adaptation, celui qui survient lorsqu’on apprend qu’on est enceinte, n’est absolument pas négatif. Il ne faut pas que les mères s’affolent, ce stress est une réaction de défense face à une situation nouvelle. Il est tout à fait normal », explique Françoise Molénat. La grossesse induit beaucoup de bouleversements physiques et émotionnels. »Les angoisses du début de la grossesse influencent le comportement de la future mamanLe stress émotionnel, quant à lui, génère de la tension, de la peur, de l’irritabilité. Il est très fréquent pendant la grossesse. La maman est en proie à des petites angoisses du quotidien, des sautes d’humeur inexpliquées. Mais là encore, il n’y a pas d'incidence sur la santé de l’enfant ou sur le déroulement de la grossesse. Si toutefois ces émotions ne retentissent pas trop sur l’état et grossesse pourquoi le stress est mauvais pour la grossesse ?Parfois, c’est vrai, il arrive que les futures mamans aient des niveaux de stress plus importants. Chômage, problèmes familiaux ou conjugaux, deuil, accident… ces événements angoissants peuvent avoir de véritables répercussions chez la femme enceinte et son fœtus. Il en est de même lors d’un stress aigu provoqué par une catastrophe naturelle, une guerre… Des travaux montrent que ces angoisses sont effectivement associées à des complications de la grossesse accouchement prématuré, retard de croissance, petits poids à la naissance...Stress et grossesse les risques chez le bébéCertains stress peuvent aussi provoquer chez les enfants des pathologies infectieuses, des maladies de l'oreille, des voies respiratoires. Une récente enquête de l’Inserm suggère que les bébés, dont la mère a vécu un événement particulièrement angoissant durant la grossesse, ont un risque accru de développer de l’asthme et de l’ conséquences du stress comment le stress agit sur le fœtus ?D’autres impacts ont également été observés, en particulier dans les domaines cognitifs, émotionnels et comportementaux », note Françoise Molénat. Le stress de la maman peut générer des troubles dans la régulation du système nerveux du fœtus », pouvant affecter le développement psychologique du nourrisson. A savoir d’ailleurs que les 1er et 3es trimestre de grossesse sont les périodes les plus toutefois, les effets plurifactoriels du stress restent difficiles à évaluer. Heureusement, rien n’est définitif. La plupart des impacts sont réversibles. Ce qui peut rendre le fœtus vulnérable in utero peut être récupéré à la naissance », assure Françoise Molénat. Le contexte qui va être offert à l’enfant est décisif et peut réparer les expériences d’insécurité. »Accompagner la maman pendant la grossesse pour une meilleure gestion du stressPas question de culpabiliser la maman en lui disant que son stress est mauvais pour son bébé. Cela ne ferait qu’accroître ses angoisses. Le plus important est de l’aider à diminuer ses craintes. La parole reste le premier des traitements pour améliorer le bien-être maternel. Nicole Berlo-Dupont, sage-femme cadre en hospitalisation à domicile, l’observe quotidiennement. Les femmes que j’accompagne subissent des complications pendant leur grossesse. Elles sont particulièrement angoissées. Notre rôle, c’est d’abord de les rassurer. »L’entretien individuel du 4e mois, mis en place par le plan périnatalité 2005-2007, a justement pour objectif de permettre aux femmes d’être écoutées, afin de déceler d’éventuelles difficultés psychologiques. Une future maman stressée a d’abord besoin qu’on s’occupe d’elle», ajoute Françoise Molénat. Si elle se sent entendue dans sa propre inquiétude, elle ira déjà beaucoup mieux. La parole a une fonction extrêmement sécurisante, mais il faut qu’elle soit fiable. » Aux professionnels maintenant de prendre la mesure de cet enjeu !*Françoise Molénat est l'auteure avec Luc Roegiers, de " Stress et grossesse. Quelle prévention pour quels risques? ", éd. Erès Quen pensez vous?merci de m'eclairer, jsdchtml3('aºalc =ssp-fa Par Dorothée Pierry le 13 juillet 2022 . Arrêt maladie quels sont les droits et les devoirs des salariés ? Quelles sont les démarches à réaliser ? Arrêt de travail lié au Covid des mesures particulières s’appliquent pour les arrêts de travail liés au Covid-19 jusqu’au 31 décembre 2022. L’article a été mis à jour en fonction des règles en vigueur. Si votre arrêt maladie n’est pas lié au Covid, des conditions et des règles différentes s’appliquent. Elles sont consultables dans cette partie. Durant le parcours professionnel, les salariés sont parfois contraints de s’absenter du travail pour des raisons de santé. Découvrez le fonctionnement d’un arrêt pour maladie ou accident du travail. Pour être en arrêt maladie, vous devez obtenir un arrêt de travail de la part de votre médecin et le transmettre à votre employeur et votre CPAM sous 48 heures. Vous êtes alors soumis à certaines obligations voir lesquelles et votre indemnisation dépend de votre situation professionnelle voir les revenus en arrêt maladie. Si votre état ne vous permet pas de retourner à votre poste à l’issue de votre arrêt de travail, vous pouvez demander à votre médecin de le prolonger voir la procédure. Comment obtenir un arrêt maladie si vous êtes positif au Covid ? Jusqu’au 31 décembre 2022, la démarche pour obtenir un arrêt est simplifiée. Vous devez le demander en ligne. Par ailleurs, il faut savoir que les arrêts maladie liés au Covid ouvrent des droits spécifiques et permettent notamment de ne pas se voir appliquer de délai de carence. Vous retrouverez dans cet article toutes les règles en vigueur en fonction de votre situation Test positif Cas contact En cas de symptômes Pour les personnes vulnérables Arrêt de travail pour garde d’enfant Retour de l’étranger Découvrez toutes les informations utiles sur l’arrêt maladie ainsi que vos droits en poursuivant la lecture de cet article. Sommaire Arrêt de travail CPAM les démarches à réaliser par le salarié Prescription de l’arrêt de travail en cas de maladie Indemnisation arrêt maladie quels montants ? Prolongation d’un arrêt maladie quelle est la procédure ? Arrêt de travail Covid les règles en 2022 Arrêt maladie Covid après un test positif Arrêt de travail pour les cas contacts Arrêt de travail Covid préventif en cas de symptômes Arrêt de travail préventif pour les personnes vulnérables Arrêt maladie Covid pour garde d’enfant Arrêt maladie de retour de l’étranger ou de l’Outre-mer Comment obtenir un arrêt de travail Covid Arrêt de travail et arrêt maladie en savoir plus Arrêt de travail CPAM les démarches à réaliser par le salarié Hors période d’épidémie, vous devez toujours consulter un médecin pour obtenir un arrêt maladie. Une fois que votre médecin vous remet un avis d’arrêt de travail, vous avez 48 heures pour transmettre ce document À votre CPAM À votre employeur Bon à savoir si votre médecin ne vous a remis que le volet 3 de votre arrêt de travail, cela signifie qu’il a lui-même télétransmis les volets 1 et 2 à votre CPAM. Vous devez donc transmettre ce volet 3 à votre employeur et n’avez pas à contacter votre CPAM. Si, en revanche, votre médecin vous a remis les 3 volets du document, vous devez envoyer vous-même les volets 1 et 2 de votre arrêt de travail à votre CPAM, puis le volet 3 à votre employeur. Voici un schéma récapitulatif Sachez que si vous souffrez d’une affection longue durée, votre médecin doit établir un protocole de soins et le transmettre à la CPAM. Prescription de l’arrêt de travail en cas de maladie Si votre médecin vous a prescrit un arrêt de travail pour cause de maladie, vous devez respecter certaines règles. De plus, pendant la durée de votre arrêt maladie, vous percevez une indemnisation de la part de l’Assurance Maladie. Arrêt maladie quelles sont vos obligations ? Respecter les temps de présence à domicile votre arrêt de travail précise si vous avez le droit de quitter votre domicile, et, si oui, les créneaux à respecter. Sachez que vous pouvez être contrôlée par votre CPAM, même les samedis, dimanches et jours fériés. Prévenir votre CPAM si vous êtes amené à résider ailleurs qu’à votre domicile pour cela, vous pouvez indiquer l’adresse où vous séjournez dans le volet 1 de votre arrêt de travail. Demander l’autorisation de votre CPAM si vous quittez le département contactez votre CPAM minimum 15 jours avant votre départ Ne pas exercer une activité non autorisée par votre médecin Attention si vous ne respectez pas vos obligations, vos indemnités journalières peuvent être revues à la baisse, voire supprimées. Indemnisation arrêt maladie quels montants ? Si vous êtes salarié, c’est l’Assurance maladie qui vous rémunère et vous verse des indemnités journalières. Elles sont Calculées à partir de vos salaires bruts Versées tous les 14 jours en moyenne Versées après un délai de carence de 3 jours sauf cas contraire prévu dans votre convention collective Plafonnées vos revenus sont pris en compte dans la limite de 1,8 fois le Smic, c’est-à -dire euros bruts si l’on s’appuie sur le montant mensuel du Smic 2022. Ainsi, même si vous touchez plus de euros bruts par mois, votre indemnité journalière ne pourra pas dépasser 48,69 euros bruts par jour cas général, montants maximum en vigueur en 2022 Par ailleurs, il se peut que votre entreprise complète ces indemnités journalières. Cela dépend de votre convention collective renseignez-vous auprès de votre employeur. Certaines sociétés sont soumises à une convention collective de branche professionnelle qui assure le maintien du salaire de manière intégrale ou partielle pendant un arrêt maladie. Enfin, il peut aussi y avoir subrogation de votre employeur, ce qui signifie que ce dernier vous avance le montant des indemnités journalières au lieu que vous les touchiez de la part de la CPAM et qu’il les perçoit ensuite de la part de l’Assurance maladie cela simplifie alors vos démarches. Si vous êtes inscrit à Pôle emploi en tant que salarié ou chômeur, sachez que votre CPAM peut vous verser des indemnités journalières pour compenser le salaire ou les allocations que vous ne pouvez plus percevoir en raison de votre état de santé si Vous avez touché des allocations chômage au cours des 12 derniers mois OU vous avez cessé votre activité salariée depuis moins d’un an Pour calculer le montant de vos indemnités journalières, l’Assurance maladie se base sur le salaire que vous perceviez durant vos derniers mois travaillés et non pas sur votre allocation chômage. Vos indemnités journalières seront égales à 50% de votre salaire journalier de base calculé sur la moyenne des salaires bruts des 3 mois précédant votre arrêt maladie, ou 66,66 % à partir du 31ème jour d’arrêt si vous avez trois enfants à charge ou plus. Elles vont seront versées en moyenne tous les 14 jours après un délai de carence de 3 jours. Bon à savoir ces indemnités journalières de la CPAM ne sont pas cumulables avec votre allocation chômage. Leur versement interrompt par conséquent les versements de Pôle emploi pendant toute la durée de votre arrêt maladie. Cela reporte d’autant de jours vos droits aux ARE. Si vous êtes micro-entrepreneur ou indépendant, vous pouvez percevoir des indemnités journalières de la CPAM. Celles-ci sont calculées à partir des revenus que vous déclarez et après un délai de carence dont la durée varie selon la cause de votre arrêt maladie. Ces indemnités seront égales à 1/730ème de votre revenu professionnel moyen au cours des trois dernières années. Ce montant varie entre 5,14 et 53,74 euros par jour. Approfondissez vos recherches sur le calcul des indemnités journalières Prolongation d’un arrêt maladie quelle est la procédure ? Si à la fin de votre arrêt de travail vous n’êtes pas en mesure de retourner à votre poste, vous pouvez prolonger la durée de cet arrêt de travail ou être placé en mi-temps thérapeutique. Pour cela vous devez retourner consulter votre médecin traitant ou le médecin vous ayant prescrit votre arrêt maladie afin qu’il vous examine et décide de la prolongation ou non de votre premier arrêt. Une fois votre arrêt maladie prolongé, vous devez effectuer les mêmes démarches que lors de votre arrêt initial Transmettre le volet 1 et 2 de l’arrêt à la CPAM dans les 48 heures si votre médecin ne l’a pas fait Transmettre le volet 3 du formulaire à votre employeur sous 48 heures Durant la prolongation de votre arrêt de travail, vous serez indemnisé selon les mêmes modalités que durant votre arrêt initial voir ici avec tout de même une différence le délai de carence ne s’applique pas lors d’une prolongation d’arrêt maladie. Attention seul votre médecin traitant ou le médecin ayant prescrit l’arrêt de travail initial peut prolonger votre arrêt. Cependant, dans certains cas, un autre médecin peut vous le prescrire Le médecin qui remplace votre médecin traitant ou le médecin qui vous a prescrit votre premier arrêt maladie Un médecin spécialiste que vous avez consulté à la demande de votre médecin traitant Un médecin qui vous suit dans le cadre d’une hospitalisation Si vous n’êtes pas en mesure de consulter l’un de ces médecins pour la prolongation de votre arrêt de travail, vous devez le prouver à la CPAM en lui envoyant tout document justifiant votre situation. Arrêt de travail Covid les règles en 2022 Des mesures particulières ont été mises en place depuis le mois de janvier 2021 en ce qui concerne les arrêts de travail. Elles ont été prolongées jusqu’au 31 décembre 2022. En effet, les arrêts de travail Covid donnent lieu à une procédure particulière et ouvre des droits spécifiques. Par exemple, jusqu’au 31 décembre 2022, le Gouvernement a pris la décision d’interrompre les jours de carence en cas d’arrêt maladie lié au Covid-19. Cela signifie que vous recevez vos indemnités journalières dès le premier jour de votre arrêt de travail, alors qu’en temps normal un délai de carence de 3 jours est appliqué. Vous trouverez ci-dessous les règles en vigueur en 2022 relatives aux arrêts de travail Covid pour Les personnes ayant été testées positives au Covid-19 Les personnes cas contacts Les personnes qui présentent des symptômes du Covid Les personnes devant garder leur enfant de moins de 16 ans ou en situation de handicap testé positif au Covid Les personnes vulnérables Les personnes de retour d’un déplacement à l’étranger ou en outre-mer La procédure pour obtenir un arrêt de travail Covid Arrêt maladie Covid après un test positif Si vous avez été testé positifve au Covid-19 test PCR ou antigénique et que vous avez besoin d’un arrêt de travail, sachez que vous devez suivre une procédure particulière qui diffère des démarches habituelles. En effet, vous ne devez pas passer par un professionnel de santé pour obtenir un premier arrêt maladie pour Covid-19. Votre médecin peut uniquement vous prescrire une prolongation d’arrêt de travail Covid, si toutefois votre situation médicale le nécessite. En cas de test positif, vous devez utiliser le téléservice pour saisir votre arrêt de travail en ligne. C’est par ce biais seulement que vous pourrez bénéficier d’un arrêt de travail Covid avec le versement d’indemnités journalières IJ Sans vérification des conditions d’ouverture de droits Sans l’application du délai de carence habituel Sans que ces IJ ne soient comptabilisées dans les durées maximales de versement Attention si votre arrêt de travail Covid est prescrit par votre médecin, vous ne pouvez pas bénéficier des conditions spécifiques évoquées ci-dessus. Des jours de carence seront notamment appliqués. Arrêt de travail pour les cas contacts Depuis le 21 mars 2022, les personnes cas contacts n’ont plus l’obligation de s’isoler, qu’elles soient vaccinées ou non. Ainsi, en tant que cas contact, vous n’avez pas la possibilité d’obtenir un arrêt de travail Covid. Toutefois, ces situations particulières font exception et peuvent vous permettre de demander un arrêt de travail Covid si vous êtes cas contact Vous êtes cas contact de votre enfant de moins de 16 ans et vous devez le garder sans possibilité de télétravail voir plus bas Vous avez des symptômes du Covid, vous ne pouvez pas télétravailler et vous n’avez pas encore les résultats de votre test voir plus bas Si vous vous trouvez dans une de ces deux situations, vous pouvez alors demander un arrêt de travail dérogatoire ou préventif via le téléservice Arrêt de travail Covid préventif en cas de symptômes Si vous présentez un ou plusieurs symptômes du Covid-19, vous pouvez demander un arrêt de travail en attendant d’avoir le résultat de votre test de dépistage PCR ou antigénique, seulement si vous n’avez pas la possibilité de télétravailler. Dans ce cas, vous devrez utiliser le téléservice Arrêt de travail préventif pour les personnes vulnérables Pour éviter la propagation du virus Covid-19, des mesures particulières ont été mises en place depuis mars 2020 pour les personnes à l’état de santé fragile. Elles peuvent en effet bénéficier d’un arrêt de travail préventif pour se mettre à l’abri » avant la mise en contact potentielle avec le virus. Toutefois, il faut savoir que cet arrêt de travail préventif pour les personnes dites “vulnérables” diffère de l’arrêt de travail Covid. En effet, il doit être établi par votre médecin traitant. De plus, il donne lieu au versement d’indemnités journalières maladie dans les conditions de droit commun voir règles habituelles dans cette partie. Afin de pouvoir en bénéficier, vous devrez répondre à 3 critères. Premièrement, vous êtes concerné par cet arrêt de travail préventif si Vous êtes âgé d’au moins 65 ans Vous avez des insuffisances respiratoires chroniques Vous avez la mucoviscidose Vous souffrez d’insuffisances cardiaques Vous avez une maladie des coronaires Vous avez eu un AVC Vous faites de l’hypertension artérielle Vous souffrez d’insuffisance rénale chronique dialysée Vous avez du diabète et êtes insulinodépendant non équilibré ou vous avez des complications secondaires liées à votre diabète Vous avez un cancer et êtes sous traitement Vous avez une immunodépression pathologies cancéreuses et hématologiques, suites de transplantation d’organe et de cellules souches hématopoïétiques, maladies inflammatoires et/ou auto-immunes, VIH Vous souffrez d’une hépatique chronique avec cirrhose Vous souffrez d’obésité avec un IMC d’au moins 40 Second point, pour être reconnu vulnérable vous ne devez pas avoir la possibilité de télétravailler à 100%. Enfin, troisièmement vous ne devez pas bénéficier des mesures de protection renforcées au travail Isolement du poste de travail Respect des gestes barrières renforcés Limitation ou absence du partage du poste de travail Nettoyage et désinfection réguliers du poste de travail Si transport collectif adaptation des horaires afin d’éviter les heures d’affluence et mise à disposition de masques pour couvrir les trajets Bon à savoir si vous bénéficiez d’un arrêt préventif, votre employeur ne peut pas vous obliger à revenir travailler. En résumé ! Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, vous pouvez bénéficier d’un arrêt de travail préventif pour isolement si vous remplissez ces 3 conditions Souffrir d’une pathologie inscrite dans la liste Ne pas être en mesure de télétravailler Ne pas bénéficier de mesures de protection renforcées sur votre lieu de travail Attention en fonction de la situation, vous pouvez aussi être placé en activité partielle. Vous serez alors rémunéré durant votre période d’isolement au titre du chômage partiel. Arrêt maladie Covid pour garde d’enfant Si vous êtes parent d’un enfant qui a été testé positif au Covid-19 et qui a moins de 16 ans OU qui est handicapé, vous pouvez bénéficier d’un arrêt de travail Covid sous certaines conditions Le test est réalisé durant la période scolaire Vous n’avez pas la possibilité de télétravailler L’autre parent ne bénéficie pas déjà d’un arrêt maladie Covid pour la garde de cet enfant Si vous respectez toutes ces conditions, vous pouvez alors bénéficier d’un arrêt de travail Covid D’une durée de 7 jours à partir de la date de la notification de cas contact Possiblement rétroactif dans la limite de 2 jours pour les salariés spontanément isolés avant la date de notification. Prolongeable dans la limite de 2 jours supplémentaires si les résultats du test PCR ou antigénique ne sont pas connus à la fin du premier arrêt de travail Ouvrant droit au versement d’indemnités journalières sans l’application d’un délai de carence Pouvant faire l’objet d’un complément de l’employeur Pour obtenir cet arrêt de travail dérogatoire, vous devez utiliser le téléservice En fonction de la situation, vous pouvez aussi être placé en activité partielle. Vous serez alors rémunéré au titre du chômage partiel. Bon à savoir si vous êtes fonctionnaire, que vous n’avez pas la possibilité de télétravailler et que vous travaillez plus de 28 heures par semaine, vous pouvez être placé en autorisation spéciale d’absence ASA. Vous serez alors indemnisé à 100% de votre rémunération. Arrêt maladie de retour de l’étranger ou de l’Outre-mer Certains déplacements hors du territoire métropolitain sont soumis à une obligation d’isolement lors du retour. Pour connaître la liste des pays concernés, consultez le site du gouvernement. Lors de cette période d’isolement, vous pouvez demander un arrêt de travail dérogatoire jusqu’à l’obtention des résultats du test. Attention si vous êtes salarié dans le secteur privé, c’est votre employeur qui doit se charger de la démarche via le téléservice dédié. La CPAM procèdera alors à la vérification de vos conditions d’indemnisation pensez à conserver les justificatifs de votre voyage, puis vous versera le cas échéant les indemnités journalières à validation de la demande. En fonction de votre situation, cet arrêt maladie pourra être établi à partir du jour de votre retour pour une durée de 10 jours maximum. La demande d’arrêt de travail Covid se fait directement en ligne depuis le téléservice mis en place par l’Assurance Maladie ou la MSA si vous dépendez du régime agricole. Pour demander cet arrêt maladie, vous devez Vous connecter sur le site ou sur Cliquer sur le statut qui correspond à votre situation Le site vous orientera alors vers le téléservice adapté à votre situation. Une fois sur ce service, vous devrez compléter les informations demandées profession, numéro de Sécurité sociale, coordonnées, etc. afin d’obtenir votre attestation d’isolement et votre arrêt de travail. Arrêt de travail et arrêt maladie en savoir plus Si vous souhaitez approfondir vos recherches autour des arrêts de travail, nous vous conseillons la lecture des articles suivants Comment déclarer un accident du travail ? La reconnaissance d’une maladie professionnelle La rente incapacité permanente le forumUne question à poser ? Un problème à soulever ? Toute une communauté à votre écoute ... 🙍 Comment obtenir un arrêt maladie ? Pour obtenir un arrêt de travail, vous devez consulter votre médecin… Lire la suite ❓ Comment prolonger un arrêt de travail ? Pour prolonger votre arrêt maladie, vous devez consulter le médecin à l’origine de votre arrêt initial… Lire la suite ✍️ Sous combien de temps doit-on envoyer son arrêt de travail ? Vous avez 48 heures pour prévenir votre employeur et la CPAM que votre médecin vous a prescrit un arrêt… Lire la suite 🤝 Comment obtenir un arrêt de travail Covid ? Si votre arrêt concerne le Covid, la demande d’arrêt de travail se fait en ligne… Lire la suite Crédit photo © / Adobe Stock Diplômée de Sciences Po, je suis journaliste/rédactrice freelance. Je possède dix ans d’expériences professionnelles web et rédaction et travaille pour le site depuis 2017 Audébut des années 70, Thierry Lhermitte était fou amoureux de Valérie Mairesse, et réciproquement. Cette dernière est même tombée enceinte, mais a
Après le drame du bal, AnaĂŻs est emmenĂ©e Ă l’hĂ´pital dans Ici tout commence, en ce mois de mai 2022 sur TF1. La compagne de Lisandro apprend qu’elle est enceinte…Prochainement dans Ici tout commence sur TF1, dans la panique, AnaĂŻs Julie Sassoust a Ă©tĂ© bousculĂ©e lorsque le plafond de la salle de bal s’est effondrĂ©. Constance Sabine Perraud s’est occupĂ©e d’elle et craint un traumatisme crânien. Ă€ l’arrivĂ©e des pompiers, la jeune femme est emmenĂ©e Ă l’hĂ´pital, accompagnĂ©e de Lisandro AgustĂn Galiana. AnaĂŻs bouleversĂ©e après une nouvelle inattendue dans Ici tout commence sur TF1 Dans ce dramatique accident, Kelly Axelle Dodier a Ă©galement Ă©tĂ© gravement blessĂ©e Ă la jambe. Elle se retrouve Ă partager sa chambre d’hĂ´pital avec AnaĂŻs. Cette dernière a eu des nausĂ©es durant la nuit et les mĂ©decins ont donc prĂ©fĂ©rĂ© la garder en observation. Mais, la jeune femme se sent bien et pense que les mĂ©decins s’inquiètent pour rien. Lisandro n’est pas de cet avis et conseille Ă sa compagne de se reposer. Plus tard, après des examens, le docteur apprend Ă AnaĂŻs qu’elle n’a pas commotion cĂ©rĂ©brale. De ce fait, elle pense que les nausĂ©es sont dues au stress. Le mĂ©decin lui annonce qu’elle est enceinte. Le lendemain, elle doit partir de l’hĂ´pital, mais cette nouvelle la bouleverse. Kelly a surpris la conversation et lui promet de ne rien dire. Lisandro papa, un avortement pour AnaĂŻs ? Lisandro est heureux de retrouver sa compagne Ă la maison et avoue avoir eu très peur pour elle. Plus tard, AnaĂŻs avoue la vĂ©ritĂ© Ă SalomĂ© AurĂ©lie Pons qui est surprise par cette nouvelle. AnaĂŻs est perdue et a peur pour son poste de maĂ®tre d’hĂ´tel Ă la rentrĂ©e Ă Paris. Elle veut fonder une famille avec Lisandro, mais pas tout de suite. Sur les conseils de SalomĂ©, AnaĂŻs annonce Ă Lisandro ĂŞtre enceinte. Ce dernier est fou de joie tandis que sa compagne garde ses doutes pour elle. Pourtant, cette nouvelle va bouleverser le couple. AnaĂŻs pense qu’elle ne gardera pas l’enfant, mais Lisandro va faire quelques rĂ©vĂ©lations, dont certaines blesseront AnaĂŻs. Cette dernière devra prendre une dĂ©cision très importante. Lors d’un rendez-vous au cabinet mĂ©dical, AnaĂŻs sera accompagnĂ©e de SalomĂ©. Les deux femmes feront face Ă un incident inattendu… AnaĂŻs gardera-t-elle le bĂ©bĂ© ? RĂ©ponse dans les Ă©pisodes inĂ©dits d’ Ici tout commence , diffusĂ©s du lundi au vendredi dès 18h30 sur TF1.cgzv.